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22/03/2013

Vincent et moi 18.

De 2005 à 2009 ont été des années horribles. S'il n'y avait eu le rayon de soleil de Vincent.
L'année 2008 a été une année particulièrement difficile. Avec Vincent, on s'écrit toujours. Il n'y a rien qui puisse faire que l'on arrête de s'écrire, et la tendresse est toujours présente, sauf quand cette folle tombe dans un puits de jalousie. Je ne sais pas qui est Vincent, si elle est cette folle jalouse ou cette amie, si particulière dont je ne peux me passer.

L'année a mal commencé pour nous. Quand je lui ai dit que j'emmenais ma petite famille en Grèce, elle a été furieuse, elle a cessé de m'écrire pendant près de deux mois. Je sais qu'elle souffre de la situation. Le temps passe et il n'y a pas d'issue. Je ne veux pas lui donner d'espoir. Je ne quitterai jamais la mère de mes enfants. Je ne veux pas détruire ma petite famille, quoi qu'il m'en coûte.

En Grèce, ça s'est très mal passé. J'adore la Grèce, j'avais passé beaucoup de temps à organiser ce voyage. Nous etions dans un endroit merveilleux et je n'ai eu que des reproches. C'est malheureusement un peu toujours comme ça. J'en fais un maximum, ce n'est jamais assez, je me heurte toujours à une insatisfaction constitutive ... Elle a ses raisons, ses excuses. c'est pourquoi je tiens bon. Au retour de Grèce, elle parle de me quitter. J'ai mes enfants, je vis pour qu'ils soient bien. Je dis: c'est toi qui vois. Bien sûr, je pense à Vincent ... mais je ne dis rien. Je dis juste à Vincent, avec qui la correspondance à repris, que ce n'etait pas si bien que ça en Grèce. Avec elle, les mots reprennent toujours.

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